
Greta Thunberg montre la voie à une écologie encore trop peu radicalisée
Greta Thunberg n’a pas « changé », elle applique sa logique militante et écologique jusqu’au bout. Il y a une semaine, elle et 11 autres personnalités ont embarqué sur le Madleen. Un petit voilier qui navigue pour la coalition Freedom Flotilla. L’objectif était de rompre le blocage de Gaza par Israël, d’apporter de l’aide humanitaire mais surtout de visibiliser le génocide en cours. Son soutien à la Palestine n’est pas un fait isolé, mais la suite logique d’un combat contre un système qui détruit les population set la nature. “If you as a climate activiste don’t also fight for a free Palestine and the end to clonialism then you should not be able call yoursef a climate activist.” lançait -elle. Si elle a souvent été exposée aux critiques médiatiques, son image n’a pas toujours été aussi clivante qu’elle est aujourd’hui. Son engagement pour la Palestine, cristallise les tensions qui mettent en lumière un malaise et les contradictions qui traversent les luttes écologistes. Là où les priorités politiques peinent encore à s’aligner face à l’urgence.