Sarah Leveaux

La répression ne se mesure pas qu’en hématomes ou en jours d’arrêt. En invisibilisant les traumatismes psychiques, l’État semble miser sur l'epuisement silencieux des luttes et de celleux qui la portent. Sarah nous invite à une réflexion autour de l'épuisement psychologique dans ce premier fragment de luttte.

Ses projets visent à : (re)créer du lien et des espaces d’échange, favoriser l'émancipation par le savoir(-faire), lutter contre les inégalités et la désinformation. Passionnée par les sciences, Sarah est convaincue que l’éducation et l’accès à l’information sont des moyens privilégiés pour rendre aux gens le pouvoir qui leur revient. Elle prône une démarche plus consciente, inclusive et intersectionnelle, à contre-courant du rythme effréné des systèmes dominants.