La signature du traité de libre-échange entre l’UE et le MERCOSUR met en avant la mondialisation de l’agriculture et de l’élevage et la libéralisation des marchés. Face à cette réalité bien établie, les voix qui s’élèvent sont tumultueuses. L’antispécisme et l’agriculture paysanne défendent justement des alternatives à ce système qui, jusqu’à présent, n’étaient pas compatibles entre elles Les lignes sont toutefois en train de bouger doucement à l’initiative d'un antispécisme qui dézoome de la cause animale pour inclure une dimension sociale à ses réflexions. De quoi rêver à une réflexion de société mêlant la cause animale, la cause sociale des éleveur.euses et l’écologie.
- 20 décembre 2024