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LE MOT DE LA REDAC'

Salut à toi,


Ce mois d'octobre qui vient de se terminer est un mois particulier pour Engrainage, avec le lancement de notre campagne de financement le 12 octobre. On ne va pas s'étendre dans cette newsletter, car tu l'as sûrement vu passer dans nos envois des derniers jours ou sur Instagram, mais nous voulions juste te partager que nous venons de dépasser le premier palier de 500€ de dons mensuels ! Encore 10 jours pour aller plus loin 🔥

517€ de dons mensuels déjà réunis ! 🔥

PALIER 1 ✅

500€/mois

On continue… mais tout est produit bénévolement.

PALIER 2

1500€/mois

On franchit un cap en lançant les Fragments de Lutte et on embauche une personne à mi-temps.

PALIER 3

3000€/mois

On change d’échelle en ouvrant un poste salarié à plein-temps !

Pour retrouver plus d'infos sur la campagne, voir sa progression, connaître ses paliers et faire un don, c'est par ici :

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Dans la suite de cette newsletter, nous te présentons des grosses nouveautés éditoriales, dont nous sommes super fier.es : notre premier documentaire photo Fragment de lutte sur la répression par l'épuisement psychologique, et notre premier article illustré, écrit par @archiven.nes, qui a récemment rejoint notre rédac'. Tu pourras aussi lire un reportage photo d'Elio sur une action de soutien à la Palestine qui s'est tenue en Belgique le 11 octobre, ainsi qu'un article de Pauline sur la justice comme outil de lutte complexe et inéquitable.


Sarah te présentera aussi une photo qu'elle a prise et un texte qu'elle a écrit qui permettent de sortir du sensationnel et de rappeler "l'ordinaire" d'une mobilisation.

Bonne lecture.

 

- L'équipe engrainage.

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PHOTO DU MOIS

L'ATTENTE, L'ENNUI

 

Entre deux slogans, un silence. L’attente.

Dans une société saturée d’images, le sensationnel est devenu la norme — et la réalité est absente. On retient les charges, les cris, les vitres brisées : les images fortes qui circulent et qui marquent. Pourtant les luttes se vivent aussi dans la lenteur, dans ces temps suspendus où rien ne semble se passer. C’est là que se renforcent les liens, que se cultive la persévérance et la douceur de ces moments partagés.

Photographier ces instants, c’est refuser la dictature du spectaculaire. C’est choisir la contemplation. Faire place à ce qui ne fait pas “image”, mais qui, pourtant, fait l’histoire.

Photo et texte : @sarah.lvox

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NOTRE CONTENU D'OCTOBRE

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Des rafles et des gens qui prennent leur train

article illustré par archiven.nes

Le 12 juin dernier, veille de la journée mondiale des réfugié.es, Bruno Retailleau lançait une opération nationale de contrôle des flux pour lutter contre "l'immigration clandestine" avec la complicité de la gauche et des mairies écolos. 

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Contre l’empire logistique,
Soutien à la Palestine, jusqu’à la libération !

reportage par Elio

Le samedi 11 octobre, environ 400 militant·es se sont rendu·es à Charleroi, en Belgique pour mener une action de désobéissance civile. Iels se sont introduit.es sur le site de l’aciérie Industeel, filiale d’ArcelorMittal, un acteur de l’empire logistique. Cette entreprise est accusée d’avoir expédiés 50 tonnes d’acier au Ministère israélien de la Défense, jouant ainsi un rôle dans perpétuité de la colonisation et du génocide en Palestine.

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La répression par l’épuisement psychologique -
le trouble de stress post-traumatique

Fragment de lutte par Sarah Leveaux

« Je ne me sentais pas légitime à souffrir psychologiquement alors que d'autres étaient blessé.es physiquement » — Lucile*, militante à Sainte-Soline.


La répression ne se mesure pas qu’en hématomes ou en jours d’arrêt. En invisibilisant les traumatismes psychiques, l’État semble miser sur l’épuisement silencieux des luttes et de celleux qui la portent.

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La justice est un outil complexe et inéquitable

décryptage par Pauline Roignant

La justice constitue un outil précieux au sein des luttes écologiques, permettant de remporter des victoires d’étapes, de gagner du temps et de donner de la visibilité. Mais dans les faits, l’impact du système judiciaire varie considérablement selon la nature des revendications et selon les personnes qui les portent car on retrouve au sein de ce système des biais discriminatoires de la société, comme le racisme ou le classisme. C’est aussi un outil qui présente de nombreuses limites dans son application. Son cadre peut sembler malléable, comme en témoignent les rebondissements judiciaires entourant la lutte contre la construction de l’A69, ce qui crée un sentiment d’incertitude. Cet outil de lutte ne doit pas être vu comme une finalité et doit surtout être appuyé par d’autres stratégies.

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